mardi 31 mars 2009

Besoin d'aide?

Un peu pour faire suite à mon post de mardi dernier intitulé "Drame", voici qu'aujourd'hui, je tombe sur cet article de Cyberpresse :
"Adolescente suicidaire : des soins inapropriés dénonce le père".

Cet article m'a beaucoup interpellé, parce que nous avons vécu, il y a quelques années, quelque chose de similaire.

Lorsqu'un(e) adolescent(e) commence une descente aux enfers, il n'est pas facile de lui venir en aide.

Ça commence souvent par de mauvaises fréquentations.
Graduellement, son comportement change, sans qu'on sache trop pourquoi.
Bien sûr, il y a règle générale, prise de drogue, qu'on se refuse généralement à envisager. «Pas mon enfant, voyons donc»!
Bientôt, le jeune perd son estime de soi. Croit que personne ne peut le comprendre, qu'il n'est qu'une merde, sauf ses "amis", bien sûr.
Quand nous nous rendons compte que nous sommes impuissants à lui venir en aide, nous commençons la ronde des consultations afin de trouver de l'aide.
C'est là que nous nous heurtons au "système".
À l'hôpital, on nous dit que ce ne sont que des problèmes d'adolescences qui vont se résorber avec le temps...
À force de consulter, on pose un diagnostique et on médicamente le jeune, qui continue à prendre de la drogue en plus, et qui se moque bien de tout le monde.

Finalement, après quelques frasques qui conduisent à une arrestation, un ordre de la cour obligera le jeune à suivre une thérapie.
Cette dernière thérapie sera la bonne. Parce qu'il y a eu différentes tentatives auparavant, tout à fait inutiles.

Ce que je vous raconte là, s'est déroulé sur une période d'environ 13 ans, et il y a de cela une vingtaine d'année.

Le plus navrant en lisant l'article de Jean-François Néron, c'est de constater qu'il n'y a pas eu beaucoup d'amélioration depuis tout ce temps.

Mais, ce qui est rassurant, c'est qu'il y a de l'espoir.
Oui, ces jeunes peuvent, et réussissent à s'en sortir. Tout le mérite leur revient.

Besoin d'aide, vous dite?

dimanche 29 mars 2009

Varadero - Cuba


Après nos escapades à New York et en Espagne 1,et 2 nous voici à nos premiers voyages "sud".Première escale: Varadero à Cuba, du 26 novembre au 10 décembre 1993.

Nous avons un vol direct de Québec.
Le départ s'effectue à 18h, nous arrivons à Varadero à 22h, et à notre hôtel à 23h20.



Nous logeons au Sol Palmeras.
On nous installe dans un bungalow, en nous disant qu'ils pourront nous installer à l'hôtel le lendemain, si nous le désirons.
C'est magnifique, c'est une petite maison à pallier. C'est super, mais nous choisirons tout de même l'hôtel le lendemain, parce que c'est trop grand pour nous deux et il y fait très chaud, l'air climatisé ne fonctionnant que dans la chambre. De plus, nous étions très loin de l'hôtel.

Le lendemain matin, nous sommes pressés de visiter le complexe. C'est magnifique, c'est grand, c'est propre. La végétation est luxuriante. Le buffet est complet, on a un choix terrible.
Après une première journée à prendre du soleil et à se promener sur le complexe, on nous annonce que notre chambre est prête.
C'est fantastique, nous sommes au dernier étage avec une vue imprenable sur la piscine et la mer. La chambre est très grande et propre. On est aux anges.

Le lendemain matin, nous prenons du soleil en am, mais il y a de bons passages nuageux.
En pm, nous décidons de marcher sur la plage. Nous nous rendons finalement en ville après 2h15 de marche. On se paye une bonne bière, on fait quelques achats et on revient à l'hôtel en guagua (prononcer wawa), transport en commun très efficace et très peu cher ($1,00 US pour les 2).
On y prend goût, le lendemain, on retourne en ville en guagua. C'est très rapide et efficace. Les gens sont très sympathiques.
Les jours s'écoulent ainsi entre la plage et la ville. On marche beaucoup et c'est très venteux.


Nous allons aussi à la Havane, en excursion d'une journée.
Nous sommes 8 dans un mini bus, plus le guide que est super intéressant.
Il parle tout le long du trajet, nous expliquant la culture, l'histoire, la végétation et raconte quelques histoires...
Nous traversons la ville de Matanzas, seule ville d'importance avant la Havane.
Le trajet dure 2h30. À notre arrivée, on se promène dans la Havane historique.
Visite de Musée, Place de la Cathédrale, la Maison de Hemingway, qu'il habitât 7 ans.
Les immeubles sont très peu mis en valeur, le tout semble délabré, le contraste est saisissant, surtout après notre voyage en Espagne l'an passé.


Nous visitons aussi le cimetière qui lui est impressionnant. On nous dit qu'il est classé 2e plus beau après un cimetière en Italie.
Notre guide nous raconte des histoires et des légendes toutes plus intéressantes les unes que les autres.
Avant le départ, nous montons au 25e étage du Hilton. On nous y sert un drink et on admire la vue sur la ville.
Très belle excursion, mais nous sommes très fatigués. Il a fait très chaud et humide, avec peu de vent.
Au retour, nous nous empressons de prendre une bonne douche, on sent le pétrole à plein nez.
Le reste de la semaine se passe sous un soleil radieux. On rencontre des gens que nous connaissons, le monde est petit!
Dans les jours qui suivent, j'ai fait l'expérience de me faire claquer un genoux par les vagues, ce fût sans conséquence sur le moment, mais ça m'amenât à subir une méniscectomie quelques années plus tard.
Et je me suis fait pincé le gros orteil par un "jellyfish" en marchant sur la plage.
C'est sans doute une des expériences les plus douloureuse que j'ai vécu. Surtout que je ne connaissait pas du tout cette "bibite". Maintenant je connais! Juste à en parler, j'en ressent encore les effets.

Sinon, ce fût un voyage de rêve.
Merveilleuse première expérience.
Nous récidiverons d'ailleurs à quelques reprises.
Suite dans un prochain post.


mardi 24 mars 2009

Drames

Encore un drame familial à Laval aujourd'hui.

Je suis sans voix face à tous ces drames familiaux qui se produisent régulièrement.

Comment réussir à atteindre les personnes en détresse psychologique?
Comment réussir à détecter les signes de détresse psychologique chez nos proches?
C'est tout un débat de société qui n'a pas de réponse facile.
Sommes-nous trop tolérants face aux signes de détresse manifestés pas des proches, en se disant que la personne en question va s'en remettre, il faut lui laisser du temps...

Par ailleurs, quand on a besoin d'aide, à quelle porte frapper?
Reçoit-on vraiment l'aide espérée?

J'en doute beaucoup.
Comment réussir à aider quelqu'un qui nie avoir un problème?
Quand on consulte pour une personne en détresse, si elle nie son problème, la personne qui nous reçoit, baisse facilement les bras, nous disant qu'on ne peut rien faire.

C'est vraiment un cercle vicieux.

samedi 21 mars 2009

Les Quatre Saisons de Vivaldi

Y a-t-il plus belle manière de célébrer le printemps que d'aller entendre Les Violons du Roy interprétant Les Quatre Saisons de Vivaldi?

C'est ce que j'ai fait hier après-midi.
Quel merveilleux concert!

Et en plus, nous étions totalement dans l'atmosphère, puisqu'il fait très beau depuis une semaine, et on nous annonce une autre belle semaine à venir.
C'est bien simple, moi je suis comme la nature, je revis au printemps.
Bien sûr, les matins sont encore frisquets, mais dès que le soleil se lève... on sent sa chaleur.
Comme c'est beau!

jeudi 19 mars 2009

Messenger

J'ai récemment téléchargé la dernière version de Messenger.
Je croyais faire une bonne affaire, même si j'étais très satisfaite de la version que j'avais déjà. Mais...

Toujours est-il, que depuis, j'ai perdu mes contacts.
Impossible de les récupérer.

J'ai déjà fait tout ce qu'il y avait de conseil dans la rubrique d'aide en pareil cas.
J'ai même demandé de l'aide par courriel.
J'ai bien reçu une première réponse, qui m'invitait à faire d'autres manipulations, que je me suis empressé de faire, mais sans résultat encore une fois.
J'ai donc envoyé un rapport tel que demandé, mais je suis encore en attente d'une réponse.

C'est buzzant, surtout quand on est habitué de communiquer par ce moyen.

Tout ça pour dire que je suis à la recherche d'une solution.
Donc, je navigue passablement pour trouver de l'information, ce qui me laisse moins de temps pour me trouver des sujets d'intérêts pour mon blog.

mardi 17 mars 2009

Record

Quelle belle journée.

À ce qu'il paraît, nous avons battu un record.
Ce n'est pas vraiment important, mais ce qui est important, c'est qu'il a fait un temps splendide.

J'ai passé une partie de l'après-midi à l'extérieur afin de faire le plein de soleil et de temps doux.
Quel bienfait!

Par contre, peu de temps pour l'ordi...
Il sera toujours temps de se reprendre, ce ne sont pas les occasions qui manqueront!

lundi 16 mars 2009

Espagne (suite)

Troisième excursion, Tétouan au Maroc.

Le souvenir que j'en ai est plutôt flou.
En me reportant à mes notes de voyage et à mes photos, je me souviens.
Véritable retour dans le temps.
On laboure les champs avec le bœuf et l'âne.
On fait sécher le linge sur les petits arbres ou sur les pierres.
Nous déambulons dans les souks, c'est noir de monde.
Dépaysement total.

Quatrième excursion, Tanger, toujours au Maroc évidemment.

Visite panoramique de la ville, en autobus, avec arrêts à la place de chameaux et au charmeur de serpent.
Repas dans un restaurant typique, avec danseuse du ventre.
Par la suite, visite d'une coopérative de tapis, cuir, cuivre etc...
À notre sortie, nous sommes assaillis par des vendeurs ambulants qui ne nous lâchent plus, jusqu'à notre arrivée à l'autobus.
Incroyable.

Cinquième excursion, retour en Espagne, à Ronda.

Époustouflant. Paysages à couper le souffle.
Après 2 heures de route, où nous avons vu des montagnes de marbre blanc, nous nous retrouvons pratiquement à la hauteur des nuages. On nous dit que la ville se situe à 1125 m.
Le pont neuf (Puente Nuevo) est une des attractions de la ville, avec son précipice impressionnant qui sépare la vieille ville de la partie plus récente. Le pont est une œuvre de 98 mètres de hauteur, construite en pierres et composée de trois arches.
Nous avons visité l'Église Ste-Marie la Majeure.
Construite selon 3 styles différents avec des chapelles magnifiques et des peintures gigantesques.

Dernière excursion, mais non la moindre, Grenade.

D'abord, l'incontournable Alhambra.
Regardez moi ce plafond! Quel magnifique palais.
Et bien sûr, les Jardins du Generalife.
Les mots me manquent pour exprimer nos sentiments.
La hauteur des arbres, les différentes cours avec les fontaines etc...
Je le répète, époustouflant.

Finalement, nous avons pris le train pour nous rendre à Malaga, où nous nous sommes promenés et avons fait de très belles découvertes.

Nous sommes aussi allés au Casino à Torrequebrada où nous avons assisté à un magnifique spectacle de danse flamenco et international.
Que de beaux souvenirs!
De plus, nous avons bénéficié d'une température exceptionnelle.
À peine 2 heures de pluie en 1 mois.
Le matin, nous voyions le soleil se lever sur la Méditerranée de notre balcon, en prenant notre petit déjeuner.
La température était un peu fraîche le matin et le soir, mais dès que le soleil était levé, il a fait 28°C plusieurs jours. La température la plus fraîche que nous avons eu a été 16°C une seule journée. La plupart du temps, il faisait entre 22° et 25°C.

Je le répète, ce fût notre premier gros voyage, et nous ne l'avons jamais regretté.
Ce fût une très bonne décision.

dimanche 15 mars 2009

Espagne

Suite de mes souvenirs de voyage.

Petit retour en arrière:
1992, année où nous avons commencés à voyager.

Après New York en avril, nous partons pour l'Espagne en novembre.

Une publicité dans notre boîte aux lettres, nous propose 4 semaines sur la Costa del Sol, pour un prix défiant toute compétition!
Voilà qu'on se met à rêver. Mon chum, ayant toujours aimé tout ce qui se rapporte à l'Espagne, dit : On part!
Légèrement stupéfaite, j'objecte que nos vacances sont prises, il ne nous reste plus qu'une semaine. Qu'à cela ne tienne, on prendra des congés sans solde. C'est une occasion qui ne se représentera pas...
Il faut dire que la Costa del Sol cherchait à prolonger sa saison touristique, à l'époque.
Donc, ils offraient des prix vraiment alléchants.
Et nous voici partis.

Nous logerons au Bajondillo à Torrémolinos pour toute la durée de notre séjour.
De là, nous pouvons prendre des excursions d'une journée pour explorer les alentours, ou tout simplement, prendre le transport en commun local.


Première excursion, Gibraltar.
Très escarpé avec des rues vraiment très étroites, c'est mon souvenir principal de Gibraltar.
Bien sûr, il ne faut pas oublié ses singes (macaques) qui viennent très près.
On nous averti même de faire attention à nos sacs, car ils peuvent nous voler!!!
Coût de la vie très dispendieux, nous sommes en territoire britannique, on paye en livre sterling.

Autre découverte, Benalmadena.
À environ 1 heure de marche de notre hôtel, nous sommes littéralement tombés sous le charme de ce magnifique port de plaisance, où, tout est d'une blancheur éclatante. Magnifique.
Nous sommes revenus de cette escapade, exténués, mais complètement charmés.

Deuxième excursion, Séville.
Riche en histoire, l'Alcazar est un ancien palais des rois, construit par les arabes au 12e siècle, et reconstruit selon les mêmes structures par les chrétiens au 14e siècle.
Modifié à nouveau au 16e siècle, il sert toujours de résidence royale.
La Giralda, ancien minaret, que l'on voit à la sortie de l'Alcazar.
Symbole de Séville avec un clocher chrétien ajouté avec une girouette, d'où son nom.
Alors que la mosquée primitive disparut suite à un tremblement de terre au 14e siècle , et aux travaux de construction de l'actuelle cathédrale, la Giralda fut préservée et accommodée aux goûts espagnols.
Ensuite, visite de l'Hôpital de la Charité.
L'hôpital est célèbre pour son église, qui constitue un des chefs-d'œuvre de l'archithecture baroque sévillane, ainsi que pour les nombreuses œuvres d'art qu'elle abrite. Des artistes de l'étoffe de Pedro Roldán, Murillo et Valdès Leal, y ont laissé des réalisations majeures, faisant de ce lieu un véritable musée d'art baroque.
La Plaza Santa Cruz, où est enterré le peintre Murillo.
Le parc Maria Luisa et sa Plaza de l'América et sa Plaza de Espana.

Cette dernière, faite en demi-cercle parfait avec une fontaine au centre est magnifique.
Nous avons également vu l'extérieur du site de l'exposition universelle de 1992,
qui venait à peine de se terminé. Nous avons vu sa porte d'entrée principale en forme de courronne de la Statue de la Liberté.

Les ponts originaux, construit pour l'occasion, afin de traverser le Guadalquivir qui fut prolongé pour entourer l'Île de la Chartreuse, site de l'Expo.
Nous avons aussi vu le théâtre de la Maestrenza, également construit pour l'Expo.

Nous voici rendu à mi-parcours de ce fabuleux voyage.
Je dois évidemment me référer à mes notes de voyage et à mon album photo pour me remémorer les détails de cette aventure, mais c'est magique, je crois que je viens de rajeunir de 17 ans. :)

Suite dans un prochain post.
À venir, le Maroc, Ronda, Grenade et Malaga.

vendredi 13 mars 2009

Course contre le temps

Autant mon dimanche s'est écoulé tout doucement, autant ma semaine m'a fait courir.

Rien d'extraordinaire, mais les choses se sont succédées à une vitesse à laquelle je ne suis plus habituée. :))

Ce qui fait qu'en bout de course, nous voilà rendu au vendredi soir, et la semaine est terminée!

Donc, peu de temps pour écrire.
À peine le temps de surfer, cette semaine.
J'ai quand même pris le temps de lire vos blogs, et mon forum sur les croisières.

Je suis toujours très admirative du travail des autres.
J'aimerais être aussi productive, mais je suis souvent à cours d'idée par les temps qui courent.

Qu'importe, je suis probablement dans un creux.
Ça reviendra.

lundi 9 mars 2009

Web télé

Je suis présentement à l'exploration de la web télé.
J'avais bien sûr pris connaissance de ce phénomène, sans vraiment m'y arrêter.
Ce média prend de plus en plus d'ampleur.
Pour m'y retrouver, j'ai parcouru le WebtvHEBDO.com.
C'est vraiment un incontournable pour tout découvrir de ce phénomène.
Dominique Arpin et son équipe font vraiment un travail formidable.

Sans doute, un des site les plus populaire est Chez Jules.
Avec des comédiens connus, c'est très bien fait.
À découvrir.

J'y retourne donc, je n'en suis qu'à mes débuts.

dimanche 8 mars 2009

Dimanche

Un petit post à l'image de ce dimanche.
C'est-à-dire léger, sans importance et sans conséquence.

D'abord, j'avais bien changé mes horloges hier soir avant d'aller au lit, mais mon horloge biologique a ignoré ce changement, de sorte que je me suis levée une heure plus tard que d'habitude, ce matin.

Sans conséquence que je dit, puisque nous sommes dimanche.
Nous n'avons rien d'autre sur le programme que d'aller nous entraîner et de prendre la journée comme elle se présente.

Donc, après une avant-midi vite passée, petite sieste après le dîner.
Ce qui nous amène en pm plus avancé que je n'aurais voulue.
Ayant quelques lectures en retard, je m'installe donc au fauteuil avec ma chatte, et je lit.
Finalement, je me retrouve à l'heure du souper, sans m'être assis à l'ordi de la journée.Phénomène très rare dans mon cas! :)

Alors, me voici à rédiger un post sans importance.
Seulement pour le plaisir de publier.

samedi 7 mars 2009

Changement d'heure / Sondage

Eh oui, c'est encore une fois le temps de changer l'heure.
Nous revenons à l'heure avancée.

J'aime bien avancer l'heure.
C'est annonciateur du printemps.
Annonciateur de beau temps (j'espère).
Les jours ont commencés à rallonger, mais il me semble que ça paraît encore plus à l'heure avancée.

Changement de sujet, aujourd'hui, j'ai pris connaissance d'un sondage qui fait état que les baby-boomers utilisent beaucoup internet.
Article intéressant de Yves Therrien à lire ici.

De ce que je peux voir autour de moi, je suis assez d'accord avec les conclusions du sondage.
Moi même, je m'y reconnais très bien.

jeudi 5 mars 2009

Choisir son heure

Avez-vous lu la lettre de André Dion, aujourd'hui?

Ça relance encore une fois le débat sur l'euthanasie.
Nos élus auront-ils un jour le courage de se pencher véritablement sur le sujet?

C'est bien beau faire de la recherche afin de comprendre la maladie, la prévenir et guérir.
Mais comme tout le monde sait, on finit tous par mourir.

À quand de véritables unités de soins palliatifs, où on pourrait trouver de la vraie chaleur humaine afin de nous accompagner dans nos derniers moments, et tout ça avec l'aide médicale nécessaire pour ne pas que ça dure pas des semaines.
Pourquoi, une fois rendu au bout de notre chemin, ne pourrait-on pas choisir de quitter?
Mais pas n'importe comment. Pas en quémandant.
On peut rarement choisir son heure, mais pour les fois où ce serait possible, pourquoi ne peut-on pas trouver de l'aide?

Je sais, c'est un sujet épineux, mais qui reste d'actualité.
Parce qu'on meurt à tous les jours.

mardi 3 mars 2009

New York

New York, une grande première!

C'est la première fois que je traverse la frontière.
C'est très excitant.
Évidemment, c'est un voyage organisé durant la fin de semaine de Pâques en avril 1992.
Il a fait un temps exécrable.
Dommage, à Québec durant de même week end, il a fait un temps splendide. Tant pis!

Oui, la température était bien le dernier de mes soucis.
Il y avait tant de chose à voir.
Bien sûr, nous avons fait un tour de ville guidé, ce qui nous a conduit dans les différents quartiers de New York.
Mais on a aussi beaucoup marché, afin d'aller voir ce qui nous intéressait.

Un de ces intérêt étant la musique, nous voulions absolument voir le Lincoln Center, qui abrite le Metropolitan Opera.
J'en ai eu les larmes aux yeux, tellement l'émotion était vive.
Nous possédons plusieurs opéras sur vidéo, et nous avons toujours cette image en ouverture, donc j'étais vraiment très émue de me retrouver devant ce magnifique édifice, haut lieu de l'opéra.

Mais que dire lorsque nous sommes entrés à l'intérieur. J'étais vraiment subjuguée.
Nous nous sommes même payés une représentation de "Parsifal" opéra de Wagner d'une durée de 3 heures, en soirée.
Ce fût vraiment le summum de mon voyage.

Bien sûr, il y a eu Time Square aussi.
Le Rockfeller Center, Radio City Music Hall où nous avons vu le spectacle de Pâques, le Carnegie Hall et finalement le World Trade Center.

Que de souvenirs!

C'était mon tout premier voyage outres frontières.
Mais ce ne fût pas le dernier.
Chose que je n'aurais jamais imaginé, la même année, à l'automne, nous partions pour l'Espagne, un mois entier!
Ce sera le sujet d'un prochain post.

lundi 2 mars 2009

Pas pressée

Pas le temps aujourd'hui, pour un retour en arrière.
Pourtant, je n'ai rien fait de vraiment spécial.
Que de l'ordinaire, mais sur un petit train.
Je pense que j'étais sur le même rythme que la neige tombée en après-midi.
Une neige qui tombait tranquillement, sans presse.
J'étais comme ça, pas pressée.
Il y a de ces journées où rien ne presse.
Pourtant hier, je croyais que ça se bousculerait en pm, mais finalement, il n'en a rien été, et c'est bien ainsi.
J'aime me sentir "pas pressée"!

dimanche 1 mars 2009

Albums photos

Je vous ai déjà parlé de mes débuts de voyageuse.
Aujourd'hui, je me suis mis à la recherche de photos pour me rappeler la suite.
Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai peu de mémoire pour les dates.
J'ai besoin d'un aide-mémoire, en l'occurrence des photos.
Heureusement que je suis assez organisée.
De tout temps, j'ai monté des albums photos, de sorte que quand je cherche quelque chose, je n'ai qu'à me référer à mes albums photos.
Mais ça réveille toutes sortes de souvenirs, pas seulement les voyages. :))

Donc, petit récapitulatif, j'ai commencé en 1972 par le Nouveau Brunswick et l'Île du Prince Edouard.
En 1973, j'ai acheté ma première voiture, et à partir de ce moment, je me suis promené dans la province que je n'avais pas eu l'occasion de découvrir auparavant.
On a fait plusieurs endroits entre Tadoussac et Montréal.
Avec le recul, je m'aperçois que nous n'avons pas dépassé Montréal à l'ouest.
À l'est, nous nous sommes rendus à Tadoussac, au nord, au Saguenay et Lac St-Jean.
Au sud, nous nous sommes arrêtés en Estrie.

Toutes les régions du Québec ont leur charme, mais en arrivant en Estrie, je suis tombée en amour et dès lors, nous avons cessé notre exploration de la province, et nous nous sommes installés à Magog pour une dizaine d'année.
Un charmant motel de type familial où nous sommes retournés à chaque été, et où nous retrouvions presque toujours les mêmes vacanciers.
De là, nous avons explorés les alentours.
Ce sont sans doute mes plus beaux souvenirs de vacances.



Par la suite, j'ai commencé à dépasser les frontières.
Au prochain post, première escale : New York.
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